SOREL-TRACY, le 17 juin 2019 – C’est avec joie et fierté que le député de Richelieu, Jean-Bernard Émond, a accueilli l’annonce de l’octroi d’un montant de 8,5 M$ pour l’agrandissement et le réaménagement du pavillon Notre-Dame de l’École intégrée d’Yamaska par le ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, ainsi que par le président du Conseil du trésor, M. Christian Dubé. Cette somme, prévue au Plan québécois des infrastructures 2019-2029, permettra au pavillon Notre-Dame d’agrandir ses locaux, afin d’accueillir les élèves du pavillon Saint-Gabriel, dont les installations et la localisation (en bordure de la route 132) ne répondent plus aux normes de sécurité.
Depuis 2011, le projet de fusion des deux pavillons de l’École intégrée d’Yamaska a fait l’objet de cinq demandes, qui se sont toutes vues refusées par les précédents gouvernements. C’est à la suite des interventions répétées du député Jean-Bernard Émond, appuyées par la municipalité de Yamaska et la Commission scolaire de Sorel-Tracy, que le dossier a finalement connu un dénouement positif : « Je suis très heureux, mais surtout très soulagé, aujourd’hui. La sécurité de nos enfants est primordiale et, dès que la municipalité de Yamaska et la Commission scolaire de Sorel-Tracy m’ont fait part de la situation inacceptable au pavillon Saint-Gabriel, j’ai multiplié les démarches auprès de mon collègue et ministre de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Jean-François Roberge, pour que l’agrandissement du pavillon Notre-Dame soit priorisé dans l’octroi des nouvelles sommes », a déclaré le député caquiste. « Grâce à la fusion des deux écoles et à la centralisation des ressources, non seulement nos enfants auront accès à un lieu d’apprentissage sécuritaire, moderne et adapté, mais ils seront également en mesure de recevoir plus facilement les services spécialisés auxquels ils ont droit. Je tiens à souligner la collaboration et l’implication de la municipalité de Yamaska et de la Commission scolaire de Sorel-Tracy dans ce projet. Ils ont fait de ce dossier une priorité et je les remercie pour leur appui », a-t-il conclu.
La mairesse de Yamaska, Mme Diane De Tonnancourt, a également tenu à exprimer son enthousiasme : « La municipalité est très heureuse de voir que le projet d’agrandissement ait pu finalement être accepté pour le bien-être et la sécurité de nos jeunes élèves. Des installations sportives conformes pourront également profiter aux élèves et à l’ensemble de notre population, puisqu’aucun des gymnases actuels ne répondait aux normes exigées. Déjà, en 2011, la municipalité avait acquis un terrain adjacent au pavillon Notre-Dame, afin de permettre à la commission scolaire d’avoir l’espace nécessaire pour construire de nouvelles infrastructures. Ce projet est une très bonne nouvelle pour toute notre communauté. Notre député, M. Jean-Bernard Émond, a été d’une aide précieuse dans l’avancement de notre projet auprès des instances gouvernementales », a-t-elle déclaré.
Le président de la Commission scolaire de Sorel-Tracy, M. Denis Rajotte, a également réagi à la nouvelle : « Nous sommes extrêmement heureux de l’annonce faite par MM. Roberge et Dubé en lien avec l’octroi de sommes importantes pour l’agrandissement et le réaménagement de l’École intégrée d’Yamaska. Cette annonce, que nous avons accueillie avec grand plaisir, témoigne de la priorité qui est accordée par le député de Richelieu, Jean-Bernard Émond et par le ministre de l’Éducation et de l’enseignement supérieur, M. Jean-François Roberge, à la sécurité des élèves de l’École intégrée d’Yamaska et à la qualité des services offerts à ces derniers. Nous leurs sommes très reconnaissants pour la suite favorable donnée à notre projet d’ajout d’espace », a-t-il mentionné.
La mesure Ajout d’espace vise les projets de construction, d’agrandissement et de réaménagement d’écoles ainsi que l’acquisition de bâtiments par les commissions scolaires. L’ensemble des projets pour lesquels un besoin d’espace était reconnu par le Ministère vont démarrer cette année. Ces investissements sont prévus au Plan québécois des infrastructures 2019-2029.